Le N°1 de « la hulotte des ardennes» est né à Rubécourt en janvier 1972 dans le cerveau et sous la plume de l'instituteur de la Grande Ecole formant la future élite de Boult-aux-bois, Pierre Déom. Son club de fans grossissant avec le temps, l'irrégulomadaire « le plus lu dans les terriers » (1 à 2 numéros par an, en moyenne) est devenu « la hulotte » et possède maintenant des lecteur(ice)s dans le monde entier. Son dernier numéro 114 vous apprend comment la bouvière - ce mini-poisson de nos rivières "plein d'arêtes" (Aristosus) - squatte la moule chinoise.
Sa rigueur scientifique n'ayant d'égale que son humour, la petite revue format A5 (taille spéciale poche de veste pour balades en forêt ou dans les champs) explique tout ce que vous avez toujours voulu savoir sans oser le demander sur l'aigle royal, la betterave, le bolet satan, la chauve-souris, le clyte fantôme, l'euphorbe des bois, le graphosome ponctué, la joubarbe des toits, la limace, le triton de Blasius... et, surtout, l'abeille :